Parce qu'il faut bien appeler un chat un kittycutecatsocool
Je contreviens à mon habitude dans ce billet pour exposer mon point de vue sur un phénomène social qui me dépasse un peu, mais qui se confond tout de même dans une masse de cas de diverses composition. THE FAMEUX CUPCAKE.
C’est bon, c’est beau, c’est l’fun, c’est ce que vous voulez, mais je n’arrive tout simplement pas à comprendre l’engouement monstre pour ces petits gâteaux, voire ces muffins stylisés. Car, soyons francs, ce sont des muffins, vulgairement, paf. Tels que les gentilles mamans et les gentilles grands-mamans en préparaient l’amour dans le cœur et la sérénité sur le visage. Certains insisteront sur le fait que la recette suivie est en fait une recette de gâteau divisée en petites portions, c’est l’fun, c’est génial, comment résister. C’EST DES MUFFINS!
Ce qui est pour moi incompréhensible ce n’est pas que l’on aime ces petits gâteaux, c’est, bien entendu, délicieux. Ce que je ne comprends pas, c’est que les gens, particulièrement les gens tendances-dans l’vent-hypes, agissent comme si c’était THE thing to eat en 2008. Comme si on n’avait jamais vu ça un petit gâteau de fantaisie mignon comme tout, comme si c’était révolutionnaire, inédit, IN-CROI-YI-AAA-BLE!
J’en ai mangé, avec plaisir, ça goûtait, hummm, c’est difficile à cerner, mais je dirais que ça goûtait le gâteau. Troublant.
C’est bon, c’est beau, c’est l’fun, c’est ce que vous voulez, mais je n’arrive tout simplement pas à comprendre l’engouement monstre pour ces petits gâteaux, voire ces muffins stylisés. Car, soyons francs, ce sont des muffins, vulgairement, paf. Tels que les gentilles mamans et les gentilles grands-mamans en préparaient l’amour dans le cœur et la sérénité sur le visage. Certains insisteront sur le fait que la recette suivie est en fait une recette de gâteau divisée en petites portions, c’est l’fun, c’est génial, comment résister. C’EST DES MUFFINS!
Ce qui est pour moi incompréhensible ce n’est pas que l’on aime ces petits gâteaux, c’est, bien entendu, délicieux. Ce que je ne comprends pas, c’est que les gens, particulièrement les gens tendances-dans l’vent-hypes, agissent comme si c’était THE thing to eat en 2008. Comme si on n’avait jamais vu ça un petit gâteau de fantaisie mignon comme tout, comme si c’était révolutionnaire, inédit, IN-CROI-YI-AAA-BLE!
J’en ai mangé, avec plaisir, ça goûtait, hummm, c’est difficile à cerner, mais je dirais que ça goûtait le gâteau. Troublant.
rangé avec
dérape
6 commentaires:
Haha, en effet, bizarre cette folie pour les "muffins décorés". Je préfère de loin un gâteau au café. Par contre, un "muffin décoré" accompagné d'une bière se fait neutraliser le "cuteness effect". Soyons barbares, bouffons nos "muffins décorés" avec des levures!
Sinon, j'écris ce message sur un fond de musique hindou - excellente sitare d'ailleurs - mais qui fait un peu trop summertime pour les courants d'air froids qui entrent par la porte d'en avant.
Vais remplacer ça par Brassens, me faire un p'tit allongé (ou deux) et NE PAS MANGER de "muffins décorés tout cutes bin bin fashion qu'on regarde en salivant mais qu'on doit pas saliver dessus pour pas défaire le cuteness effect".
@ pluche. B.
C'est un phénomène social et énomique comme n'importe quel autre. Comme le retour des leggings, du lamé or, etc. Pure opération marketing.
Les gens se laissent manipuler tellement facilement. C'est déconcertant... :o)
Meuh non, ça ne sont pas des muffins, c'est moins nutritif!
Et avec tout le glaçage dessus, mmmmm.
;)
@bb: Beurk! des gâteaux avec de la bière, mais t'as raison, ça les fait descendre dans l'échelle sociale des choses IN.
PS: Brassens, ça fait la job en tout temps, hiver comme été.
@Tous: c'est quand même déconcertant, on dirait vraiment des fois que les gens on jamais rien vu.
Tag! (Plus d'infos sur mon blogue)
Publier un commentaire