Tendre déclaration
Depuis la naissance de P’tite face, je n’ai cessé de lui tapoter le popotin en débitant moult inepties telles que:” Sont à qui ces p’tites fesses là? Sont à moi ces foufounes là? Ah les belles foufounes à maman! » Etc, vous aurez compris le principe.
Or, depuis que P’tite face s’exprime, il ne se gêne pas pour me dire que « C’est les fesses à Mamie » (ou Papi ou Papa ou Tantine 1, 2, 3, etc.) selon son caprice affectif du moment. Et de s’ensuivre à chaque fois une discussion enflammée où je stipule finalement avec autorité que « c’est moi qui les a faites, sont à moi ».
Par ailleurs, comme je lave les toilettes dans un hôpital psychiatre où les tabous sont en quelque sorte atténués, les mots « caca moulu » et autres dérivés me viennent souvent au lèvres (au grand désespoir d’Amoureux) et je taquine souvent P’tite face en lui disant qu’il sent le caca moulu parce qu’il n’a pas lavé ses foufounes. Bon. Ça peut paraître bizarre comme ça, mais ça le fait bien rigoler et comme nous parlons beaucoup de caca ensemble, il ne ressent pas le besoin de s’en ouvrir en public à tout moment, me plaçant ainsi dans une situation pour le moins embarrassante (frêle justification).
Donc, cette fin de semaine, P’tite Face, en sa qualité de futur chevalier tueur de dragons, était entrain de s’instruire sur sa future condition en écoutant quelques épisodes de Kaamelott, une émission européenne fort divertissante que je vous conseille ardemment tant les comédiens sont tous plus fantastiques les uns que les autres. Je disais…? Ah, voilà, P’tite face réclame donc ma présence à ses côtés, et je décide d’interrompre mes activités le temps de deux ou trois épisodes (3 minutes chacunes), je m’assois donc à ses côtés. Il se blottit contre moi en me couvrant de la jetée dans laquelle il est enveloppé, il lève ses grands yeux vers moi et déclare : « Sont à toi mes p’tites fesses qui puent ». J’suis restée un peu plus longtemps.
Or, depuis que P’tite face s’exprime, il ne se gêne pas pour me dire que « C’est les fesses à Mamie » (ou Papi ou Papa ou Tantine 1, 2, 3, etc.) selon son caprice affectif du moment. Et de s’ensuivre à chaque fois une discussion enflammée où je stipule finalement avec autorité que « c’est moi qui les a faites, sont à moi ».
Par ailleurs, comme je lave les toilettes dans un hôpital psychiatre où les tabous sont en quelque sorte atténués, les mots « caca moulu » et autres dérivés me viennent souvent au lèvres (au grand désespoir d’Amoureux) et je taquine souvent P’tite face en lui disant qu’il sent le caca moulu parce qu’il n’a pas lavé ses foufounes. Bon. Ça peut paraître bizarre comme ça, mais ça le fait bien rigoler et comme nous parlons beaucoup de caca ensemble, il ne ressent pas le besoin de s’en ouvrir en public à tout moment, me plaçant ainsi dans une situation pour le moins embarrassante (frêle justification).
Donc, cette fin de semaine, P’tite Face, en sa qualité de futur chevalier tueur de dragons, était entrain de s’instruire sur sa future condition en écoutant quelques épisodes de Kaamelott, une émission européenne fort divertissante que je vous conseille ardemment tant les comédiens sont tous plus fantastiques les uns que les autres. Je disais…? Ah, voilà, P’tite face réclame donc ma présence à ses côtés, et je décide d’interrompre mes activités le temps de deux ou trois épisodes (3 minutes chacunes), je m’assois donc à ses côtés. Il se blottit contre moi en me couvrant de la jetée dans laquelle il est enveloppé, il lève ses grands yeux vers moi et déclare : « Sont à toi mes p’tites fesses qui puent ». J’suis restée un peu plus longtemps.