25.6.07

Pingouin fever




Ne sont-ils pas entraînants ces films pour enfants avec leurs chansons qui nous collent au cerveau des semaines et des semaines? J'adore! Peu m'importe la qualité du film, si je peux chanter les chansons encore et encore, je ne peux résister.

Me voilà donc, il y a déjà quelque temps de cela, prise d'une nouvelle fièvre pous ce fameux film de pingouins (oui, oui, je sais) et pour sa trame sonore qui m'emporte encore régulièrement. Particulièrement cette chanson de ce cher Prince "Ze Artist" pop cool 80.

Alors, voilà

"dingdingdingdingding

le rythme s'empare de moi
un déhanchement saccadé me fait remuer le popotin

"You don't have to be biioutifulll
"To teuuurn me oooon

La musique est en moi, I'm a rockstar

"Iou can't be too flirtai mama

Yeah Babe! Here I am!

"Iou don't have to be richhhhh, to be my girl

Cette chanson a été écrite pour moi

"Don't have to be coullllle...humm mmm mm

I DON'T WANT A BITCH!!!

Et Paf! Retour sur terre aussi sec que le décollage.

Moi (regardant Petite Face d'un air éberlué et horrifié (mon fils ne peut s'exprimer ainsi)) : KOUWWWA !???!!(mon totem scout était canard grinçant). QU'EST-CE QUE T'AS DIT?!???!!

Lui (trop fier de son effet) : I DON'T WANT A BITCH!

Moi ( qui n'en revient pas, avec un regard digne de celui d'un esturgeon accroché à l'hameçon) : What the f?%%##@??!!??? (dans ma tête voyons, sinon pourquoi s'en faire pour un mot aussi doux que bitch?)

Amoureux (plutôt content que j'aie arrêté de chanter) : Je crois qu'il chantait avec toi...You don't have to be rich...ahah

Petite Face : I DON'T WANT A BITCH!

Cette chanson fut bannie de mon répertoire (sauf sous la douche) dès que j'ai pu fermer ma bouche jusqu'à ce que Petite Face réussisse à articuler quelque chose de plus approchant de la version originale que de son remix personnel...

2 commentaires:

Anonyme a dit...

« La détresse et l'enchantement »,

Si tu savais comme j'ai aimé ce livre...Belle Lurette. Ils s’en dégagent une tristesse, beaucoup de regrets avoués à demie ou encore tout simplement inavoués, de la campagne et encore de la campagne anglaise... verte et tranquille…à deux pas de Londres. Si tu es d’accord, j'aimerais bien que tu m'en parles pour que l'on puisse comparer ou, plutôt mieux encore, compléter nos perceptions par rapport à ces nombreux souvenirs, parfois douloureux, de Gabrielle Roy.
Oui, Belle Lurette, je pense que ce serait très agréable de le faire. J’attends donc de tes nouvelles à cet égard.

Nonobstant ce qui précède, j’espère te revoir souvent chez nous. Pour ma part, je reviendrai régulièrement chez toi, c’est promis !

Bonne soirée et bonne semaine,

André.

Julie a dit...

Hahahahahahah... trop charmant nos enfants